L’IHU INFINY et le laboratoire NGERE, en collaboration avec leurs partenaires scientifiques, lancent un projet de recherche ambitieux pour explorer les impacts des habitudes alimentaires et des microplastiques sur les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI).
Porté par le Professeur Laurent Peyrin-Biroulet, ce projet combine des approches biomédicales et des sciences sociales pour proposer des solutions concrètes aux enjeux liés à ces pathologies. Lauréat de l’appel à projets « Environnement et Santé » de la Fondation pour la Recherche Médicale (FRM), il bénéficie d’un soutien prestigieux pour ses recherches innovantes.
Ce projet piloté par le Dr Djésia Arnone, responsable de la recherche fondamentale de l’IHU, s’inscrit dans le WP1 du programme scientifique de l’IHU INFINY.
Un impact pour les patients et la société
Une analyse large des inégalités sociales en matière de santé et d’alimentation des patients atteints de MICI permettra de comprendre leur relation à la maladie ainsi que leurs expositions aux polluants alimentaires et environnementaux. L’objectif est de pouvoir formuler des recommandations prenant en compte ces 2 facteurs d’exposition. Les travaux contribueront à améliorer la prise en charge des MICI tout en promouvant des pratiques alimentaires et industrielles plus saines.
Un partenariat multidisciplinaire
Pour mener à bien ce projet, plusieurs équipes de recherche collaborent :
- NGERE Inserm-UL UMRS1256 (Nancy) – Laurent PEYRIN-BIROULET – Djésia ARNONE – Marie BOUDAUD
- Microbiome-Host Interactions (Institut Pasteur) – Benoit CHASSAING
- Institut Jean Lamour CNRS UMR7198 – Halima ALEM-MARCHAND
- TETRAS (Laboratoire de sociologie des Territoires, du travail, des âges et de la santé) – Ingrid VOLERY
Ce travail s’inscrit pleinement dans les objectifs de l’IHU INFINY : innover pour une meilleure compréhension et prise en charge des maladies inflammatoires chroniques de l’intestin.